� IN MEMORIAM Claude Riehl 1954 - 2006 Claude Riehl, co-fondateur de ce site, est d�c�d� samedi, 11 f�vrier 2006.edi, 11 Mais quand m�me : 1 somptueux paradis ! A chaque compartiment de la vo�te d’arr�te son fin arbre pointu ; toujours � tour de r�le l’autre sorte. R�guli�rement la lointaine bordure d’un d�cor d’arbres. Et de d=rri�re chaque tronc lorgnait, yeux � droite, se reposant avec aise, son animal : ours & cerf & bœuf & agneau. : � Et regarde comme c’est fait, c’est g�nial ! : la partie post�rieure a �t� tout simplement laiss�e de c�t� : moderne & audacieux. � � Arno Schmidt : � On a march� sur la Lande � p.217 � Si je connais un peu la langue et pas d’hier comme tant et tant ! Je le dis toute de suite ! dans les finesses ! J’ai d�bourr� tous mes � effets �, mes � litotes � et mes pertinences � dedans mes couches… Ah ! j’en veux plus ! je m’en ferais
crever ! Mon grand-p�re Auguste est d’avis. Il me dit de
l�-haut, il me l’insuffle, du ciel au fond… Ah ! je suis intransigeant farouche ! Si je retombais dans les � p�riodes � !... trois points !... dix ! douze points ! au secours ! Plus rien du tout s’il le fallait ! Voil� comme je suis ! Le Jazz a renvers� la valse. L’impressionnisme a tu� le � faux-jours �, vous �crirez � t�l�graphique � ou vous �crirez plus du tout ! L’Emoi c’est tout dans la Vie ! A vous de comprendre ! Emouvez-vous ! Ca sera tout ce que vous y mettrez ! l’orage ou la fl�te ! comme aux Enfers, comme chez les Anges ! Louis-Ferdinand C�line : � Guignols’s band I �
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